18 octobre 2008
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Gossipiennes, Gossipiens, l'heure est grave, comme tous les samedis!
Enfin, n'exagérons pas non plus, au pays où la démesure et l'oppulence sont de mise.
Mais tout de même.
Il est parfois dans une série des remises à zéro, des compteurs qui repartent de rien et où tout s'explique.
De ces épisodes où les haches de guerre se déterrent allègrement, les vieilles blessures de coeurs font on croyait les stigmates solides qui se rouvrent en un mot et où les secrets de famille éclatent au grand jour.
Et en l'occurrence, à table.
Et pour couronner le tout, le jour où paix, partage, amour, gloire et beauté sont en théorie les maîtres de cérémonie.
Pourtant, tout était prêt pour que table rase soit faite, du côté de l'Upper East Side.
Blair trépignait d'impatience à l'idée de revoir son néo-européen de papa, qu'elle semble aimer tendrement et dont l'absence fait atrocement souffrir la belle au coeur d'apparence si froid.
Serena et Dan allaient enfin pouvoir partager la dinde sacrée autour de la même table.
Quant à Lily, elle avait accepté l'invitation de Rufus, sans toutefois avoir eu vent de la présence d'Alison, la maman de Dan et Jenny, mais qui savait quoi? Que devait-on cacher ou avouer? Puis bon, quand c'est les enfants qui invitent les parents, comment peut-on refuser quoi que ce soit de la chair de sa chair, candide et sage comme une image? (Je parle de Dan, mais vous l'aurez compris, ne dîtes pas le contraire...)
Tout ce petit monde pourtant prêt à exploser passe dont à table.
Et en un mot, un geste, un regard, un ange passe et le vase déborde.
Alison cafte maladroitement, Dan n'en perd pas une miette et jette de l'huile sur le feu, les enfants lèvent le camp pour ramasser leur maman à la petite cuillère.
La marâtre de Blair avoue son inimitié envers son ex-mari à sa fille, dont les espoirs se brisent comme une cassolette de nougatine tombée du 3ème étage du New York Palace Hotel.
Serena reçoit un SOS de Blair qui compense à nouveau l'absence de son père par la nourriture et file pas tout à fait à l'anglaise, comme à son habitude, plantant son amoureux dont je me demande encore comment sa patience n'a pas atteint ses limites.
Lily préfère prendre la tangente et jouer son rôle de mère attentive pour accompagner sa fille, évitant ainsi toute explication avec son ex future rivale.
Vient alors la partie que j'ai préférée.
Les flash-back, ceux qui nous aident à tout comprendre, le passif des uns, les travers des autres, et finalement le mal-être de tous.
Et oui, beau et riche ne signifie pas être heureux et insouciant.
Les chiens ne font pas des chats, certes, mais ils peuvent éviter que ces derniers ne reproduisent les erreurs qu'ils ont commises à leur âge.
Il suffit juste d'être là.
C'est ainsi que l'épisode se termine comme il a commencé.
On se rattable comme on peut et on s'accommode des restes.
Car il y a toujours quelque chose à rattraper.
Surtout la main de son enfant qui sombre et doute.
Allez, vous avez pleuré, ne dîtes pas le contraire... (Comment ça j'ai mon rimel qui coule?)
Gossip Girl... Ou pas!
Enfin, n'exagérons pas non plus, au pays où la démesure et l'oppulence sont de mise.
Mais tout de même.
Il est parfois dans une série des remises à zéro, des compteurs qui repartent de rien et où tout s'explique.
De ces épisodes où les haches de guerre se déterrent allègrement, les vieilles blessures de coeurs font on croyait les stigmates solides qui se rouvrent en un mot et où les secrets de famille éclatent au grand jour.
Et en l'occurrence, à table.
Et pour couronner le tout, le jour où paix, partage, amour, gloire et beauté sont en théorie les maîtres de cérémonie.
Pourtant, tout était prêt pour que table rase soit faite, du côté de l'Upper East Side.
Blair trépignait d'impatience à l'idée de revoir son néo-européen de papa, qu'elle semble aimer tendrement et dont l'absence fait atrocement souffrir la belle au coeur d'apparence si froid.
Serena et Dan allaient enfin pouvoir partager la dinde sacrée autour de la même table.
Quant à Lily, elle avait accepté l'invitation de Rufus, sans toutefois avoir eu vent de la présence d'Alison, la maman de Dan et Jenny, mais qui savait quoi? Que devait-on cacher ou avouer? Puis bon, quand c'est les enfants qui invitent les parents, comment peut-on refuser quoi que ce soit de la chair de sa chair, candide et sage comme une image? (Je parle de Dan, mais vous l'aurez compris, ne dîtes pas le contraire...)
Tout ce petit monde pourtant prêt à exploser passe dont à table.
Et en un mot, un geste, un regard, un ange passe et le vase déborde.
Alison cafte maladroitement, Dan n'en perd pas une miette et jette de l'huile sur le feu, les enfants lèvent le camp pour ramasser leur maman à la petite cuillère.
La marâtre de Blair avoue son inimitié envers son ex-mari à sa fille, dont les espoirs se brisent comme une cassolette de nougatine tombée du 3ème étage du New York Palace Hotel.
Serena reçoit un SOS de Blair qui compense à nouveau l'absence de son père par la nourriture et file pas tout à fait à l'anglaise, comme à son habitude, plantant son amoureux dont je me demande encore comment sa patience n'a pas atteint ses limites.
Lily préfère prendre la tangente et jouer son rôle de mère attentive pour accompagner sa fille, évitant ainsi toute explication avec son ex future rivale.
Vient alors la partie que j'ai préférée.
Les flash-back, ceux qui nous aident à tout comprendre, le passif des uns, les travers des autres, et finalement le mal-être de tous.
Et oui, beau et riche ne signifie pas être heureux et insouciant.
Les chiens ne font pas des chats, certes, mais ils peuvent éviter que ces derniers ne reproduisent les erreurs qu'ils ont commises à leur âge.
Il suffit juste d'être là.
C'est ainsi que l'épisode se termine comme il a commencé.
On se rattable comme on peut et on s'accommode des restes.
Car il y a toujours quelque chose à rattraper.
Surtout la main de son enfant qui sombre et doute.
Allez, vous avez pleuré, ne dîtes pas le contraire... (Comment ça j'ai mon rimel qui coule?)
Gossip Girl... Ou pas!